Bienvenue sur la page dédiée au premier livre de la Série Dahesh publiée par Jeune Lévrier : Dahesh La Rencontre
Bienvenue sur la page dédiée au premier livre de la Série Dahesh publiée par Jeune Lévrier : Dahesh La Rencontre
« DAHESH, un homme qui marqua son temps au fer rouge, soulevant de vives polémiques autour de sa personne, de ses prodiges et de ses enseignements qui, de l’avis de beaucoup, allaient à l’encontre des principes de l’Église catholique romaine… Par son style romancé, délicat et éthéré, où perce souvent une note d’humour intelligent, Georges Chakkour s’avère être un excellent narrateur et défenseur des idées daheshistes… » La Revue du Liban
QUI ÉTAIT vraiment le Docteur Dahesh (Salim Moussa El-Achi) ? Un philosophe ? Un collectionneur passionné ? Un alchimiste qui aurait découvert les secrets de la vie et de la matière ? Un humaniste ? C’était, en tout cas, et avant tout, un universaliste au sens le plus fort du terme. L’auteur de ces pages autobiographiques (premier volume d’une somme monumentale sur Dahesh, sa vie, ses enseignements et ses miracles) sobrement romancées pour rompre l’ennui du récit, nous fait découvrir sa « première rencontre » au Pays des Cèdres avec un homme d’exception ; un juste en ce monde d’injustice, un croyant en ce monde où la religion et les dogmes ont remplacé la vraie foi en un Être supérieur.
Pour Dahesh, la Vie est en Tout, et Dieu est en Tout : dans les pierres, dans les plantes, dans les animaux et en l’Homme. Pour Dahesh, « aucun humain n’est supérieur ou inférieur à un autre » et les femmes et les hommes sont égaux. Pour Dahesh la Terre ne peut être le seul Monde habité… Cet homme né au Moyen-Orient professait des idées nouvelles, oubliées ou négligées pour lesquelles il a été longtemps persécuté.
Dahesh était-il un Saint au sens évangélique du terme ? un Mystique ? un Messager annoncé par les Écritures ? Le livre de Georges Chakkour vous présente des faits, à vous de juger ! Au fond, comme il le dit lui-même, peu importent « les qualificatifs accolés » au Docteur Dahesh, puisque toujours et partout, il prêchait le respect et l’amour.
Le livre de Georges Chakkour est une lueur d’espoir dans notre monde d’intolérance, prêt à basculer de nouveau dans les atrocités de la guerre et à donner libre cours à la haine !
Carmen Marois (Préface Dahesh la Rencontre)
Nos religions ont fomenté plus de mal, engendré plus de guerres, et commis plus de crimes sur la Terre que l’athéisme. Quelle que soit sa religion ou ses convictions, l’homme reste un loup pour l’homme…
Georges H. Chakkour
Éditeurs et distributeurs pour la France et les pays francophones nous contacter (disponible seulement en première édition)
Les Éditions Jeune Lévrier présentent
TOUT SUR LA NAISSANCE DES PAYS ARABES SOUS LE MANDAT : l’Irak, le Liban, la Palestine, Israël, la Syrie, la Jordanie… Et puis surtout le drame de Baabda, où l’auteur nous révèle que même les Chrétiens Maronites du pays du Cèdre actuel, militant pour la démocratie, étaient contre la folle idée de détacher le Liban de la Syrie
Dahesh par lui-même : Portrait littéraire inédit sur la vie intime, les œuvres et la pensée d’une figure universelle hors du commun à travers ses nombreux écrits, ses mémoires et ses récits de voyage [ Sélection mise à jour et réalisée par Jeune Lévrier ]
Textes et Poèmes de jeunesse
dédiés au Docteur Dahesh
[…] Ce recueil de poésies est comme « le chant de cygne » d’une période morte et disparue. Un froid mortel me glace le cœur quand j’y pense ; et pourtant, je la chéris encore comme un matelot chérit la mer, quand bien même ses voiles y firent naufrage. Or, le but de toute religion et de toute doctrine polythéiste ou monothéiste, s’ancre dans la volonté constante et bien définie de fonder en l’Homme l’amour du Vrai, du Bien, et du Beau. D’éveiller en lui ce jugement irréfutable, et dirais-je ineffable, à même de briser la gangue obstinée où paressent des vérités primordiales. Souvent oubliées ou méconnues ! De sorte que le pinacle de toute pensée religieuse réside dans la… Pour pénétrer les pensées secrètes de l’auteur
Lettre inédite du Docteur Dahesh à Maître Edouard Noun
(écrite durant l’exil)
et où il se confie sur la barbarie du gouvernement libanais sous Béchara el-Khoury. Une révélation qui nous laisse encore totalement pantois… Comment, des crimes pareils, contre un civil innocent de tout méfait, délit ou offense à la loi, sont-ils restés tout ce temps impunis! Découvrez surtout comment Dahesh a réagi… et par quel miracle il a échappé à la mort !
Rappeler à leur devoir les héritiers du Docteur Dahesh, Mervat Zahid et ses quatre enfants : Amira, Hoda, Amr et Mahmoud Zahid. Laisser une trace écrite de leur comportement irrégulier dans une affaire qui touche de près le Fondateur de la Mission Daheshiste, dont ils se prétendent les fidèles disciples. Essayer enfin d’obtenir un objet précieux arbitrairement gardé en leur possession, qui m’appartient, et que m’a légué le Dr Dahesh par testament écrit. (Chose apparemment impossible, car même les dieux ne peuvent, comme dit le dicton, « forcer un âne à boire quand il n’a pas soif ».)
Feuilles des Saisons
Un siècle vient de s’écouler depuis la naissance du Docteur Dahesh à Jérusalem, le 1er juin 1909. Un siècle qui s’est écoulé comme un jour…
Ce qu’il a vécu et souffert sous Béchara el-Khoury pour propager sa mission et inviter nos religions à s’unir sous la bannière du respect commun des droits de l’homme, sans lequel il n’est point de paix universelle, son amour de la vérité sont encore à découvrir et feront sans conteste, l’étonnement et l’admiration de la nouvelle génération qui a succédé aux Baby-Boomers.
Afin de vous faire connaître les péripéties de ce crime odieux (un vrai roman policier) perpétré par le Gouvernement libanais (sous Béchara el-Khoury) contre le Docteur Dahesh, nous puplierons prochainement en feuilleton les lettres historiques de Marie Hadad au Secrétaire général des Nations Unies, et celles adressée à son frère Michel Chiha… dont voici la première partie. Une affaire qui nous concerne tous ! Découvrez pourquoi…
« Rien de nouveau dans le Daheshisme et pourtant, tout nous semble nouveau ! »Non, à plus de vingt ans de distance, je demeure encore incapable de conduire un traité métaphysique en bonne et due forme, et je me contente, pour résumer ma pensée, de répéter cette formule simple :
« Le but de toute religion est d’amener l’Homme à une prise de conscience nouvelle des valeurs morales et sociales… et que l’Être qui sème en nous l’amour du Beau Divin est lui-même Divin. »
Je pense avoir déjà souligné quelque part dans mes écrits, que le Docteur Dahesh enseignait peu en public et laissait ce soin à ses disciples. Il était, par choix et par nature, peu prolifique en enseignements théoriques. Et personnellement, je ne lui connais aucune étude, aucune synthèse ou analyse critique sur la question spirituelle. De ma vie je ne l’ai entendu « prêcher » ou « moraliser » devant des invités, ou même en privé au milieu de ses disciples. En revanche, sa vie m’a tenu lieu d’École de tous les jours, d’une source d’enseignements de chaque instant. Cependant, quel est selon moi le point central, le cœur, le point le plus important de sa pensée ? Et qui le distingue des autres prophètes. Voilà ce dont j’ai hâte d’expliquer avant d’aller plus loin dans cette série d’œuvres consacrées au Docteur Dahesh. Et d’abord en rappelant ces paroles de Jésus – qui ont enchanté ma jeunesse – sur le Paraclet : « J’ai encore beaucoup de choses à vous dire, mais vous ne… >>
* Que diraient Moïse, Jésus et Mahomet s’ils revenaient sur la terre ?
* La pollution rend nos enfants idiots
* Le Frère idéal…
* Le Fanatisme libanais…
* Qui a réellement tué le Liban ?
* Ckalkos-Libanos (« Incroyable mais vrai… dans son Apocalypse, St-Jean s’appuie sur le Liban pour décrire le Christ de la fin des temps, et cependant, faute impardonnable, presque tous les traducteurs de la Bible ont omis ce mot incompréhensible pour eux: « Chalkos-Libanos », d’une importance clé indicative du retour du Christ à la fin des temps.»)
Éditions Jeune Lévrier presents : Reflections on my life, Before and after Doctor Dahesh by Joseph Henri Chakkour
TWENTY FIVE years after his death in the United States—the Land of Exile of Daheshism since the civil war has ravaged Lebanon—the memory of Doctor Dahesh is still alive in the hearts of his disciples. Curiously enough, very little is known in the West about this man who has uniquivocally amazed the Levant with his miracles, and captivated the attention of a whole generation by his persona and his teaching style. In his book, Reflections On My Life, Joseph Chakkour comes out of his silence to relate to us how he met this man in Beirut, and how his life was affected by him, though nothing in his life had predestined him to be a Daheshist—or so he thought. And that’s the astonishing part, which gave life to an unexpected book, a sincere, humoristic, moving, and most of all, baffling book! As to the author himself, he turns out to be an excellent storyteller—to his surprise, mostly! Once you have read his words, you will discover that the humor of the biographer has nothing to envy to the exactitude of the portraitist. << This saga novel on the Chakkour’s Family, Lebanon, its politicians, Dahesh and his fight for liberty, democracy, freedom of speech and civil rights—the Lebanese civil war and the enchanting miracles of the Middle East—will surely make its own headway … >>
“ TO BELIEVE in a truth that goes against the tide when, and because, everyone believes in it is not that much of a feat. The real exploit, in my view, is to believe in it when deep in our heart we know we are facing a revelation, though the whole world might think otherwise. When my time came to choose what to believe, I chose not to close my eyes to the obvious, and it turned out to be my life. And here I am now, lifting my voice as one who was touched, to relate what I witnessed and what I felt. I come also to relate the very instances Doctor Dahesh cared to share with me, because to live them again and again is a joy in itself. In his book Words, Doctor Dahesh says, “My word is part of my heart, shard of my soul, essence of my whole.” That is how I meant my words to be. I know they are not perfect, but they are true to form—my form, or soul. ”
The Author
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